Secrets révélés

Du sang bleu, des dieux bleus et une noblesse plutôt noire

Le sang des humains possède une couleur rouge et ce depuis, sans aucun doute, son apparition sur cette terre. Mais il existe bon nombre d’allusions aussi au sang bleu…

En Amérique du Sud, le nom de « sang bleu » était donné aux métis nés d’un croisement d’indigène, de Noir et d’Européen (sangre azul).

Lamartine utilise aussi ce terme en parlant du « sang rouge des Francs et du sang bleu des Germains »… mais simplement comme une métaphore pour distinguer le tempérament flegmatique de l’Allemand, par rapport au tempérament excessif du Français.

Et puis, il y a l’expression connue : « avoir du sang bleu », qui sous-entend être d’origine noble, issu d’une haute lignée…


On sait qu’il n’y a guère que les céphalopodes qui ont le sang bleu, l’oxygène n’étant pas transporté par l’hémoglobine, dont l’élément actif est le fer, mais par l’hémocyanine qui est bleue à l’état de combinaison avec l’oxygène, et dont le principe actif est le cuivre.

On sait aussi que certaines malformations cardiaques peuvent entraîner une coloration bleue, comme la « maladie bleue » qui se caractérise par une cyanose (grec, cuanos : bleu) des téguments et des muqueuses, conséquences de l’anoxémie, par suite du passage anormal du sang veineux dans le sang artériel.

Le but de mon propos n’est pas de faire référence aux anomalies organiques susceptibles d’entraîner chez l’humain une couleur bleue, mais par contre, de mettre en évidence une constatation assez curieuse sur cette couleur bleue qui caractérise, dans le cas de très nombreuses religions dans le monde, presque toutes les représentations des divinités.

L’un des exemples les plus flagrants est naturellement le panthéon égyptien qui s’étale sur nombre de dynasties, où l’on peut voir que tous les dieux sont représentés en bleu !


Leurs corps, leurs visages, sont toujours bleus ! Alors que toute la population, les nobles, et pharaon lui-même, sont représentés avec leur couleur typique de bronze africain.

En Amérique centrale, du côté de la civilisation des Mayas, l’étude de certains Codex, du moins ceux qui ont donc pu échapper aux flammes des frères missionnaires, et qui ont conservé leurs couleurs d’origine (Codex de Dresde, de Madrid, de Paris, Codex Groslier…), permet de constater, là encore, le même phénomène.

Ces anciennes divinités du Mexique, si monstrueuses soient-elles, sont également représentées avec la couleur bleue…

En Inde, sur la voie du Yoga et du Jnâna (connaissances libératrices), représentatives des doctrines et techniques spirituelles de l’Inde brahmanique, la « Bhagavad-Gîtâ » et ses bandes dessinées, tant anciennes que modernes, nous offrent de naïves illustrations polychromes du récit mythique où s’affrontèrent les dieux, les héros et les diverses puissances qui se disputaient le monde matériel…

Et dans cette grandiose épopée, les dieux et les déesses sont tous une fois de plus d’un bleu d’azur !

De la même façon, les textes illustrés tibétains, comme le « Béryl bleu » du lama Sang-Y Gyamtso (1653-1705) ; dont les peintures sont les copies exactes des originaux du XIIIe siècle, représentent les entités divines sous une couleur bleu foncé…

N’oublions pas non plus les fameux « thangkas », merveilleuses peintures et « Mandalas » représentant des cosmologies complètes, avec leurs messages aux multiples possibilités d’interprétation.

On y voit, là encore, les Bouddhas des différents mondes, dont ceux du monde des dieux représentés en bleu sombre…

Ce rapide inventaire des représentations des divinités à travers le monde, permet de faire un parallèle avec l’hypothèse de certains auteurs qui pensent que des extraterrestres ont peuplé notre terre.

De fait, la coloration bleue des dieux pouvait provenir d’une mauvaise adaptation à notre atmosphère trop pauvre ou différente de celle de leur monde d’origine… à moins, qu’eux aussi, n’utilisaient pas l’hémoglobine, mais l’hémocyanine ! Nul ne sait et ne saura !

Toujours est-il que la question du sang bleu des dieux mérite très certainement d’être souligné et étudié.

Les Atlantes furent-ils un peuple bleu ?

Parmi tous les mystères, il en est un qui fit grand bruit en URSS en 1960.

Une revue s’appuyant sur les relations de l’historien égyptien Manéthon, d’Hérodote et sur les inscriptions du papyrus de Turin et de la pierre de Palerme, apportait une contribution précieuse, à la fois à l’énigme de l’Atlantide et à celle de la venue d’extra-terrestres. En rappelant que Platon leur attribuait une origine autre que celle des hommes terrestres, et un sang différent.

Dans le numéro de décembre 1960, la revue Atlantis sous la signature de l’archéologue Henry Bac, reprenait l’information. Les Russes posaient la question suivante : » Les Atlantes furent-ils un peuple bleu ? »

» D’après certaines traditions », révélait le document, » les Atlantes auraient été les fondateurs de la civilisation égyptienne. Les chefs les plus anciens des dynasties divines, douze mille ans avant notre ère, étaient des Atlantes de race pure.

Les Égyptiens, poursuit Henri Bac, reproduisaient très soigneusement les objets sur leur fresques et en respectaient les couleurs.

Or, de quelles couleurs peignaient-ils leurs dieux ?

Si Osiris était vert (dieu de la végétation renaissante), Thot était pigmenté, soit de vert, soit de bleu pâle; Ammon et Shou étaient des dieux bleus.

Pourquoi cette couleur fondamentale était-elle l’apanage des dieux égyptiens ?

Une seule réponse nous semble possible : Ces dieux seraient les descendants d’un peuple à peau bleue, ou considérés comme tels.

Osiris et Thot, venus en Égypte et n’y trouvant pas les conditions de vie d’un pays de hautes montagnes, mais au contraire une plaine au climat chaud et ensoleillé, ont vu leur teint modifié par le hâle qui a fini par leur donner une peau olivâtre (bleu + jaune) représentée par la couleur verte sur les dessins des premiers Égyptiens.

Hypothèse admissible si l’on considère qu’il existe des peuplades » d’indiens bleus » sur les hauts plateaux des Andes, dont la pigmentation a pour cause le manque d’oxygène dans le sang.

Les Guanches disparus de l’île de Ténériffe, aux Canaries, avaient une peau olivâtre. Il est biologiquement possible que la peau prenne une teinte azur assez vive par incorporation de grains de mélanine, pigment caractéristique des peaux noirs. Ce phénomène explique la présence des teintes bleu clair, bleu foncé et violette sur la peau de certains singes.

Il existe des » hommes bleus » aux environs de Goulémine, au sud d’Agadir, et les pictes de l’écosse antique avaient coutume de se teindre la peau en bleu.

Il est curieux, enfin, de citer la notion bien connue de » sang bleu » que l’on emploie à propos de la noblesse ancienne.

On notera que cette notion, très ancienne, est originaire de la péninsule ibérique. Habituellement, on la rattache au séjour effectué en Espagne méridionale par la tribu des Vandales, mais cette explication n’est pas satisfaisante.

Lorsqu’on examine tous ces faits par rapport à la géographie, on s’aperçoit que dans la plupart des cas l’existence de tribus à la peau olivâtre ou bleue, naturelle ou teinte artificiellement, est liée au littoral atlantique.

On en vient donc à imaginer que les Atlantes, constituaient une population au sang bleu.

Après la disparition de l’Atlantide les descendants s’habillaient de bleu lors des fêtes.

Platon révèle que lors des sacrifices nocturnes et des lits de justice des rois « atlantes » ils revêtaient, pour une raison inconnue des habits bleu azur foncé..

Henri Bac, analysant cet exposé soviétique, ajoute que l’expression » sang bleu » est encore employée de nos jours en Amérique du sud dans des contrées de la côte Pacifique, on dit d’une personne issue de l’union d’un Indien et d’un Européen qu’elle est de » sang bleu » En Europe, cette expression désigne des individus prétendus de haute et antique noblesse. En Russie, en Mongolie, les nobles étaient réputés de sang bleu.

Le sang bleu des reptiliens

David Icke révèle l’existence d’une lignée génétique d’être reptiliens dont l’origine remonterait à Sumer:

« J’ai suivi la piste sans trop de difficulté jusqu’au temps des Croisades au Moyen-Orient, au cours du XIIe et XIIIe siècle à peu près. Elle s’est alors enfoncée très loin dans le temps et dans la préhistoire. Et là, partout sur la planète, j’ai trouvé des anciens récits et légendes parlant de « dieux » venus d’un autre monde qui mêlent leur sang à celui des humains pour créer un réseau de créatures hybrides »

De nombreux mythes et légendes du peuple de l’ancien monde nous parlent d’hommes ayant du sang de Serpent.

Toutes les anciennes civilisations d’un bout du monde à l’autre ont ce concept en commun.

Ambroise Paré rapporte notamment la capacité prodigieuse des Cagots à pratiquer la momification par magnétisme, ainsi que le sang bleu vert sortant de ses veines lors d’une saignée.

Cagots, Nagas, Dropas. Peuple serpentesque ou Reptiliens venus d’ailleurs

D’autres légendes nous parlent de tribus entières de gens ayant le Serpent pour ancêtre. Ne doit-on y voir que de simples légendes sans fondement historique et scientifique d’aucune sorte ?

Les anciens textes nous disent que les êtres hybrides – résultant de la fusion des gènes d’humains sélectionnés avec ceux des « dieux » – sont devenus les dirigeants des classes royales, surtout dans les anciens Proche et Moyen-Orient, dans ces hautes cultures avancées qu’étaient la région de Sumer (en Mésopotamie), Babylone, et l’Égypte.

Mais cela s’est produit aussi partout ailleurs, notamment en Afrique noire…

Le chaman Zoulou CREDO MUTWA explique :

« Le peuple du Rwanda, le peuple Hutu, aussi bien que le peuple Tutsi, déclare, et ce n’est pas le seul peuple en Afrique qui le déclare, que leurs ancêtres vraiment les plus anciens étaient une race d’êtres qu’ils appelaient les Imanujela, ce qui signifie “les Seigneurs qui sont venus”. Et certaines tribus en Afrique de l’Ouest, telle qu’un peuple Bambara, disent aussi la même chose. Elles disent qu’est venue du ciel, il y a de très nombreuses générations, une race de créatures hautement avancées et redoutables qui ressemblaient à des hommes, et ils les appèlent Zishwezi. Le mot Zishwezi signifi les créatures plongeantes ou planantes qui peuvent descendre du ciel en planant ou glisser à travers l’eau.

Tout le monde, monsieur, a entendu parler du peuple Dogon en Afrique occidentale qui affirme que de la culture lui a été donnée par les êtres en question, mais il n’est pas… le peuple Dogon n’est qu’UN parmi beaucoup, beaucoup de peuples en Afrique qui prétendent que leur tribu ou leur lignée royale ont d’abord été fondées par la race surnaturelle des créatures qui sont venues du ciel. Êtes-vous toujours avec moi, monsieur?

Extraterrestres-reptiliens en Afrique

La femme au sang bleu

L’affaire dont il est question ici prouve d’une manière catégorique que la réalité dépasse la fiction. Des Extraterrestres se sont-ils infiltrés à notre insu dans nos sociétés ? Des êtres humains d’espèce inconnus vivent-ils parmi nous ?  Jean Sider nous explique l’affaire :

« L’affaire que je vais détailler ci-dessous, qui s’est produite en France avant la Seconde Guerre mondiale, incitera peut-être certains lecteurs à la considérer comme une preuve de la présence sur Terre d’êtres humains n’appartenant pas à notre espèce. Il ne s’agit pas d’une simple rumeur, mais d’un incident authentifié par des professionnels de la santé, et par une contre-enquête à laquelle j’ai participé, sans laquelle jamais l’idée de cet article ne me serait venue.
Les débuts de l’enquête

Au début de 2004, un excellent ami, Jacques Maniez, né en 1929 et intéressé par les phénomènes depuis 1950, me signala un fait extraordinaire qui s’était déroulé entre les 2 guerres mondiales. Je connaissais déjà en gros cette affaire, pour l’avoir lue dans un livre dévolu aux phénomènes de hantise publié en 1973. Toutefois, comme l’auteur citait seulement un témoignage de troisième main, j’ai supposé que l’incident décrit n’était que le produit d’une imagination fertile.

Cependant, Jacques m’affirma avoir vérifié cette histoire, et avoir même réussi à obtenir d’autres détails par l’entremise d’un parent proche du principal témoin. Avant de rapporter ce qu’il a pu découvrir, je résumerai les grandes lignes de ce cas tel qu’il figure dans le livre de 1973. Selon l’auteur, ce cas se serait déroulé en septembre 1932 (Daniel Réju, Fantômes et maisons hantées, Belfond, pp. 195-197).

Visite à l’hôpital

M. Pierre Sadron junior, plusieurs jours avant la mort de son père, obtint de lui les informations suivantes : un jour, M. Sadron senior, en compagnie de son jeune fils, vint à la clinique Victor Pauchet, à Amiens (Somme), afin de rendre visite à une tante qui s’y trouvait en traitement. Le directeur de la clinique, le docteur Pauchet, était un très bon ami de M. Sadron. Quand ce dernier fut reçu par le médecin, il vit tout de suite qu’il paraissait très perturbé. Comme il s’inquiétait de son agitation, le docteur Pauchet lui expliqua qu’un incident bizarre venait de se produire la nuit précédente.

Une anglaise, une certaine madame Smith, avait été amenée à la clinique par un couple de commerçants de Dreuil-lès-Amiens dans leur propre véhicule, localité située à quelques kilomètres à l’est d’Amiens. Cette femme avait été accidentée à la sortie de ce village à bord de sa voiture qui s’était écrasée contre un arbre, et elle se trouvait dans le coma avec des blessures sérieuses.
Une femme… très étrange

Le Dr. Pauchet fut très étonné lorsqu’il examina la victime, car elle avait un sang… bleuâtre. De plus, quand il effectua une analyse de son sang, il s’aperçut qu’il n’appartenait à aucun groupe connu.

Il ordonna à ses assistants de faire des vérifications et ceux-ci corroborèrent sa première analyse : groupe sanguin inconnu chez notre espèce ! À défaut d’une transfusion sanguine, une injection de sérum physiologique fut faite. Comme il était tard et que la femme n’avait toujours pas repris connaissance, la victime fut placée dans une chambre particulière, avec une infirmière très expérimentée rompue aux gardes de nuit.

Durant la nuit, la garde-malade s’endormit, en dépit de tous ses efforts pour rester éveillée. Lorsqu’elle sortit de son sommeil, l’étrange femme avait disparu, et le lit avait été refait comme si personne ne s’y était trouvé. Toutes les fenêtres de la clinique étaient munies de barreaux, et toutes les portes donnant sur le dehors étaient encore fermées de l’intérieur.
Disparition inexpliquée

Les gendarmes d’Amiens furent prévenus et ils vinrent immédiatement pour faire leur enquête. Au cours de leurs investigations, ils constatèrent que la voiture accidentée avait également disparu, et ce en dépit du fait que l’anglaise était seule à bord lorsque ses sauveteurs l’extirpèrent de son véhicule. En conséquence, qui serait à l’origine de cette disparition ?

Le fait que plus tard, M. Sadron junior devint le fondateur et secrétaire exécutif de l’Association Spiritualisme et Philosophie, explique pourquoi il informa l’auteur de cet incident, un écrivain spécialisé dans les phénomènes de hantise, ce qui n’est peut-être qu’une simple coïncidence. Toutefois, de nombreuses coïncidences se sont produites dans cette affaire, comme nous le verrons bientôt, ce qui laisse supposer un autre scénario…

Coïncidences en série

Durant les années 1970, Jacques Maniez acheta ce livre et lut cette histoire. Il se trouve que par coïncidence, mon collègue est né à Amiens, où sa famille vivait avant la Seconde Guerre mondiale. De plus, autre coïncidence, le successeur du Dr. Pauchet à la tête de la clinique était son gendre, le Dr. de Butler, lequel fut le médecin de la famille de Jacques à Amiens.

En 1979, après un contact téléphonique avec le Dr. de Butler, lequel vivait retraité et était très âgé. Jacques décida de se rendre à Amiens en voiture pour vérifier cette histoire. Là, il se rendit directement au domicile du Dr. de Butler, où ce dernier lui confirma la totalité de l’affaire. Ensuite, comme son fils Tanguy de Butler était le directeur administratif de la clinique à ce moment-là, il lui passa un coup de fil afin de faciliter une rencontre avec mon collègue. Son fils accepta sans la moindre difficulté.

La lettre du Dr Tanguy de Butler

Confirmation des médecins

M. Tanguy de Butler reçut Jacques dans son bureau de la clinique Victor Pauchet, et confirma aussi tous les détails cités ci-dessus. D’autre part, il lui montra le registre des admissions n°3, dans lequel figurait le nom de la femme dans les entrées, mais l’emplacement réservé aux sorties était resté vierge.

Pour une raison que je ne connais pas, Jacques ne prit pas note de la date exacte de l’admission, ou ne l’a garda pas en mémoire. Autre coïncidence (ou peut-être un phénomène paranormal) : durant sa présence dans le bureau de M. Tanguy de Butler, ce dernier tenait sa petite-fille de sept ou huit ans sur ses genoux. Soudain, l’enfant s’exclama : « Pépé ! Regarde en l’air ! Il y a une barre bleue sur la tête du monsieur !

Ni M. de Butler, ni son épouse présente, ne virent cette barre bleue, mais selon la petite fille, cette chose (barre ou flamme bleue), venait du plafond jusqu’au sommet du crâne de Jacques. Comprenne qui peut…

Ce fut seulement au début de 2004 que Jacques Maniez me mit au courant de tout ce qu’il savait de cette affaire. Puis, je lui suggérai d’obtenir de M. Tanguy de Butler, une lettre dans laquelle il certifierait que tous les éléments ci-dessus décrits sont authentiques. Jacques lui passa donc un coup de téléphone. Quelques jours plus tard, il reçut une lettre datée du 12 mai 2004 dans laquelle l’ancien directeur de clinique confirme tout ce qui vient d’être précisé, ce qui validait bien l’incident. Voici le texte de sa lettre :

« Monsieur,

« Pour faire suite à notre dernière conversation, voici ce que je connais de cette affaire concernant cette femme qui a été admise à la clinique dans des conditions étranges.

« Les faits se sont déroulés à la fin des années 20.

« Une jeune femme de nationalité anglaise ayant eu un accident de voiture à Dreuil-lès-Amiens, localité proche de cette ville, située sur la route Calais-Amiens, est admise à la Clinique Victor Pauchet, alors dirigée par mon grand-père, le docteur Victor Pauchet, pour, d’après le registre de salle d’opérations, des plaies au visage. Elle est enregistrée sous le nom de SMITH.

« Mon grand-père, intrigué par la couleur de son sang qui a une couleur bleuté ordonne une analyse de ce sang et à la surprise d’apprendre qu’il n’appartient à aucun groupe connu.

« Comme il est tard, il fait coucher la patiente et lui donne une garde de nuit pour la surveiller. Cette garde s’endort, ce qui ne lui arrive jamais, et à son réveil constate que la personne a disparu.
« Le véhicule accidenté avait également disparu lorsque le dépanneur est venu pour le prendre en charge.

Voici les faits tels que j’en ai eu connaissance par la suite, n’étant pas né à cette époque-là.

« Espérant, par cette relation des faits, avoir répondu à votre attente, je vous prie de croire, monsieur, en l’expression de mes meilleurs sentiments.

« Tanguy de Butler ».

Un autre cas en Afrique

La dernière coïncidence se produisit quelques jours après que Jacques Maniez m’eût informé de tous les détails de cet incident.

Le 2 février 2004, M. Alain Sider, résidant à Caen, un cousin éloigné dont j’ignorais l’existence, m’envoya une lettre dans laquelle il émettait le souhait de me rencontrer. Il avait lu mes livres et obtenu mon adresse avec mon éditeur. Il vint me voir en juin 2004, et durant nos conversations, il prétendit avoir lu dans un hebdomadaire français, il y a environ trentaine d’années, une information concernant… un cas de groupe sanguin inconnu découvert en Afrique du Sud, sur un homme ayant également disparu dans d’étranges circonstances dans l’hôpital où il se trouvait.

Toutefois, il ne se souvient pas avoir noté quelque chose d’anormal relatif à la couleur de son sang. Toutes ces coïncidences sont probablement dues au hasard, mais certains lecteurs pourraient considérer cette situation sous un autre angle, en particulier lorsqu’ils apprendront que j’ai vu un ovni en 1954, et que Jacques Maniez en a vu un aussi en 1950.

Autres éléments intrigants

Plus tard, j’écrivis à M. T. de Butler, afin de clarifier cette discordance à propos de la date de l’incident citée par Daniel Réju : septembre 1932. Le 6 juillet 2004, M. T. de Butler téléphona à mon domicile pour me dire qu’il pensait qu’il s’agissait d’une date se situant entre 1925 et 1930.

Il me promit aussi de faire une recherche dans les archives de la clinique, afin de retrouver le registre des admissions n°3 qu’il avait montré à Jacques Maniez en 1979.

Malheureusement le 19 juillet, il fit savoir qu’en dépit d’une longue fouille, il avait constaté que ce document avait disparu.

Durant notre conversation au téléphone, M. T. de Butler me donna une autre information importante. En 1977, les Gendarmes d’Amiens revinrent à la clinique pour collecter un maximum de renseignements sur cette étonnante affaire. Ils prétendirent faire une enquête à la demande d’une « dame de Toulouse », selon les propres mots de M. T. de Butler.

Si cette « dame de Toulouse » avait été une personne privée, jamais les gendarmes ne se seraient dérangés. Je pense qu’elle était probablement membre d’un organisme français étatique. Comme le CNES est basé dans la ville de Toulouse, et qu’en 1977 fut créé le GEPAN en son sein, afin de collecter et d’analyser les rapports d’observation d’ovni, elle devait faire partie du CNES. Il s’agissait sans doute de la secrétaire du GEPAN, créé par M. Claude Poher en 1977, service qui est devenu le SEPRA en 1988 dirigé par M. Jean-Jacques Velasco. Notez que M. J. J. Velasco a publié un livre en 2004, dans lequel il admet que les ovnis sont des phénomènes physiques réels et d’origine extraterrestre (OVNI : l’évidence, éditions Carnot, Paris).

Cette affaire reste donc encore sous investigations.

Plusieurs pistes de recherche :

La légende des Dieux sumériens

Je signale au lecteur à toutes fins utiles, que selon certains auteurs non spécialisés sur les phénomènes ovnis, les anciens « dieux » sumériens, censés avoir créé l’Humanité, auraient eu un sang de couleur bleue.

Ces mêmes sources précisent que les prétendus croisements entre Dieux et femmes mortelles auraient été à l’origine des lignées royales qui régnèrent bien avant le déluge. Plusieurs versions de la création de l’espèce humaine se sont propagées en Mésopotamie.

Cette diversité est due au fait que plusieurs ethnies se sont succédé, chacune reprenant la même légende en y introduisant des modifications selon ses propres critères religieux. L’un de ces récits indique que l’humanité fut créée avec le sang d’un dieu sacrifié, et une autre en mentionne deux.

Du reste, les civilisations anciennes d’Egypte et d’Amérique latine ont souvent représenté leurs « dieux » avec la peau bleu clair. Voici une citation extraite d’un livre de William Bramley, The Gods of Eden, p. 233, qui va dans ce sens :

« Les écrits Sumériens déclarent que les premiers rois humains sur Terre étaient les rejetons des Gardiens “divins” qui se croisèrent avec des femmes humaines. Ainsi naquit l’idée de “sang royal” et l’importance de maintenir une lignée royale au sang pur identique à celui des ancêtres […] Chose intéressante à noter, certains anciens Gardiens “divins” ont été décrits comme ayant soit une peau bleue, soit ayant un sang bleu […] Un être humain à sang bleu paraît être un label de supériorité au sein de notre espèce ».

Pistes de recherche

La curieuse facilité avec laquelle cette femme disparut dans la clinique sans la moindre trace de serrures forcées, et après la neutralisation d’une infirmière diplômée d’Etat expérimentée, semble indiquer qu’une ou plusieurs personnes de son espèce sont intervenues. Mais, avec quels moyens ?

Ou peut-être que cette créature disposait d’une faculté propre lui permettant de disparaître comme le font des « aliens » lors de rencontres rapprochées du 3è et 4è types. Je ne peux pas expliquer la véritable nature de cette femme mais je suggèrerai cinq possibilités éventuelles :

1 – Un mutant de notre espèce
2 – Une créature extraterrestre, dont l’espèce vit parmi nous depuis de nombreux siècles et millénaires?
3 – Un être issu d’une autre dimension ou d’un univers parallèle?
4 – Une femme de notre futur?
5 – Un leurre matérialisé très sophistiqué et temporaire créé par une intelligence inconnue responsable des apparitions et disparitions du domaine paranormal et des phénomènes ovnis?

Vers une manipulation extraterrestre

J’ai une préférence pour le dernier choix cité, à cause du fait que ces coïncidences signalées auparavant sont vraiment étonnantes, comme si cette intelligence était désireuse que cet incident soit connu des ufologues.

N’oubliez pas que de nombreux cas d’entités matérialisées à l’image d’êtres humains sont connus dans le spiritisme et l’ufologie (Esprits matérialisés, occupants d’ovnis, Hommes en noir, etc…).

Par exemple dans les années 1870, le physicien anglais William Crookes a été en mesure de vérifier scientifiquement la matérialité temporaire d’une entité nommée Katie King.

Tous ces leurres seraient planifiés dans différents lieux et temps, afin de susciter des croyances mythiques de tous genres, et de permettre à cette intelligence inconnue de tirer un probable profit de notre espèce.

Attention, ce n’est qu’une simple supposition de ma part, pas une certitude.

Aussi, le lecteur qui n’est pas au diapason avec ma façon d’interpréter cette affaire peut choisir une autre explication en fonction de son propre univers conceptuel.

Jean Sider.

Compte tenu de toutes ces preuves menant à l’existence d’humain au sang bleu, on ne peut que se poser la question de savoir qui, de nos jours, a encore du sang bleu?

Associée à la noblesse sous l’Ancien Régime, l’expression «sang bleu» tire ses origines des grandes familles des royaumes d’Europe, notamment en France et en Espagne.

Mais cette noblesse au sang bleu a été renommée : La Noblesse Noire, tant leurs agissements sont caractéristiques de la psychopathie… Ce sont ces familles qui dirigent le monde encore aujourd’hui. Ces familles font partie de toutes les loges secrètes de la planète, elles les dirigent et elles sont en contact avec des extraterrestres négatifs qui les soutiennent depuis des siècles.

Leurs membres aiment a se donné le nom de “Cobra Couronné d’Europe”.

La Noblesse Noire


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ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

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