Mystique

Documents Takenouchi: le retour des hommes-dieux (2/2)

Les documents Takenouchi  contiennent la véritable histoire de l’humanité, une histoire radicalement différente de celle qui est enseignée dans les écoles modernes.

Ils sont conservés au sein de la lignée de la famille Takenouchi dont le chef de famille est le grand-prêtre du temple du Kôso Kôtai Jingû. Cette lignée de prêtres au sein de ce sanctuaire s’étend sur plus de 90 générations.

Lire la 1ère partie :

Documents Takenouchi: la descente d’hommes semblables aux dieux (1/2)

Les documents Takenouchi et les recherches de James Churchward

Sur les traces de MU

A propos de la gouvernance mondiale :


Les découvertes de James Churward nous donnent des précisions sur le sujet :

« … Beaucoup d’étudiants de l’Antiquité ont remarqué que les rois et les empereurs des temps anciens adoptaient le titre de « Fils du Soleil », mais ils ont toujours été incapables d’en donner la raison.

Pour trouver cette raison, nous devons remonter au premier empire de la terre, l’Empire du Soleil, la Mère-Patrie de l’homme, pour lequel un emblème royal fut inventé. »

Le Blason de MU

L’emblème royal de Mu, Empire du Soleil, n’était pas un simple dessin conçu par hasard, car chaque trait avait une signification profonde, comme l’indiquent le déchiffrage et sa traduction.

A) La forme de l’écusson représente la lettre stylisée M, une des lettres de l’alphabet hiératique (conforme aux normes d’une tradition liturgique) de Mu. C’était sa lettre symbolique et, en fait, c’était même son nom, car cette lettre se prononçait Mu (ou Mou).

B) Ce hiéroglyphe est la figurine centrale de l’écusson et se lit « U-lou-om-il », ce qui veut dire : Empire de.


C) Le cercle autour de ce hiéroglyphe est une image du soleil, si bien qu’ensemble ils se lisent : l’Empire du Soleil. La forme de l’écusson étant un préfixe, cela fait : Mu.

D) Le soleil a huit rayons, symbolisant les huit points cardinaux, signifiant ainsi que la terre entière est dominée par Mu.

E) Le trait encerclant les rayons est un symbole de l’univers, l’univers étant appliqué à l’homme, c’est-à-dire la terre. Les rayons de l’influence de Mu, donc touchant toute l’humanité. Ainsi le blason royal de Mu nous révèle que toute l’humanité de la terre était sous sa domination. Mu était maîtresse de tout le globe.

Les traditions nous apprennent que lorsque Mu devint un empire, le chef hiératique fut choisi pour devenir roi, ou empereur. Le chef hiératique représentait la Divinité, dans l’enseignement religieux. Le soleil, appelé Ra, était le symbole collectif, et le plus haut, de la Divinité et, par conséquent, le symbole du Roi des Rois.

Choisi pour être roi, le chef hiératique prit le titre de Ra, symbole à la fois du soleil et du monarque.

Il y ajouta le nom de la terre de Mu, si bien que le roi s’appelait Ra Mu, on Soleil Mu. Alors un nouveau nom fut conféré à la terre, qui s’appela l’Empire du Soleil.

La fondation de l’Empire du Soleil remonte à plus de 35 000 ans. Apparemment, tandis que les diverses colonies de la Mère-patrie s’étendaient et devenaient assez puissantes pour se gouverner elles-mêmes, elles étaient transformées en empires ou en royaumes, mais toujours sous la domination de la Mère-patrie, si bien que toute la terre n’était qu’une seule famille avec un seul chef.

Quand la colonie devenait un empire ou royaume, le premier souverain appartenait à la famille royale de Mu, ou peut-être, dans certain cas, était-il élu. Quoi qu’il en soit, le nouveau roi prenait le titre de Fils du Soleil, ce qui ne signifiait pas qu’il était le fils de l’astre céleste mais le fils du royaume de la dynastie du Soleil de l’Empire du Soleil, ou fils de Mu. L’emblème du nouveau roi demeurait le soleil, mais afin de montrer qu’il était sujet de la Mère-patrie, ou n’en était qu’une partie, l’écusson ne portait qu’un soleil levant apparaissant à l’horizon avec des rayons au-dessus…

Le soleil levant est aujourd’hui l’emblème de diverses nations, parmi lesquelles le Japon, la Perse et certaines républiques d’Amériques Centrale… » ( Mu, le continent perdu. Ed. J’ai Lu)

Comment être en phase avec la nouvelle conscience ?

A propos de la nouvelle civilisation et de la théocratie :

Au cours du développement de la civilisation matérialiste, différents modes de fonctionnement de la société ont été élaborés.

Un de ces systèmes est la démocratie.

Au cours de la prochaine époque, la société humaine évoluera vers un système théocratique.

La théocratie, comme nous l’avons vu, a été le premier mode de fonctionnement des hommes. Dans les temps très anciens, les hommes vivaient en parfaite harmonie avec la nature et, de ce fait, ils bénéficiaient de tous ses bienfaits.

On peut dire qu’à cette époque très reculée les êtres humains étaient « mi-homme, mi-dieux ».

En réalité, ce que nous appelons préhistoire correspond à l’histoire très récente de la terre.

La nature des êtres qui vivaient il y a longtemps sur terre était bien différente de celle des hommes d’aujourd’hui. Leur sens spirituel était très développé. En terme moderne, on peut dire qu’ils étaient des « super-hommes » et ils communiquaient très facilement avec la force créatrice.
On peut dire que Dieu et l’homme ne faisaient réellement qu’un en ces temps reculés.

Cependant, le plan divin (cosmique) avait prévu que sur terre, les hommes devaient développer provisoirement une civilisation matérialiste afin d’acquérir et de développer certaines aptitudes leur permettant de se réaliser pleinement en vue de créer le véritable paradis sur terre.

A un certain moment de leur évolution, les hommes ont commencé à édifier une civilisation matérialiste et cela jusqu’à nos jours.

Dès – 8000 avant J.C le contact avec le monde des lois spirituelles et le domaine de l’esprit ont été rompus.

Cette rupture a conduit l’expérimentation de la matière et le développement de la civilisation matérialiste actuelle.

Au fur et à mesure de ce développement, les hommes ont acquis toutes sortes d’aptitudes liées au mental et au physique en développant, entre autres, des techniques et en utilisant la matière et les ressources naturelles de la terre. Leurs dons spirituels se sont peu à peu amoindris. Ainsi, ceux-ci ont donné de plus en plus d’importance aux théories issues de leur intelligence. Le système démocratique est une de ces manifestations.

On peut dire que les « fleurs du vice » se sont épanouies et ont prospéré jusqu’à aujourd’hui.

Les êtres humains ont fait de très grands progrès dans de nombreux domaines.

Cependant, ils sont descendus de niveau spirituel pour devenir des êtres « mi-hommes, mi-animaux ».

Les théories actuelles insistent sur le fait que plus on remonte dans le temps, plus les êtres humains étaient sauvages. Ce qui est faux.

Tant que l’on se basera sur la croyance en une évolution progressive de primates vers l’être humain, il sera impossible de résoudre le mystère des vestiges qui sont disséminés à travers le monde sur les cinq continents. Mais si on accepte l’idée qu’une ancienne civilisation technologiquement avancée ait pu exister dans la très haute antiquité, alors ces reliques nous livreront bien des secrets et des messages.

La théorie de Darwin et le concept d’évolution progressive ne tiennent pas car elle ne prend pas en compte les centaines de catastrophes terrestres qui ont eu lieu sur terre.

Dans l’avenir, les êtres humains vont mettre le progrès au service d’une nouvelle civilisation qui donnera la première place aux valeurs spirituelles.

Ainsi naitra une société hautement civilisée résultant du croisement de deux civilisations : la civilisation spirituelle du commencement et la civilisation matérialiste actuelle.

Il naîtra alors un gouvernement mondial avec un « leader », un Sumera Mikoto des temps modernes, chargé d’être le lien, l’intermédiaire entre « Ciel et Terre » ou « Dieu et hommes ».

Dans l’intervalle, les frontières et les clivages vont peu à peu disparaitre ainsi que les différents systèmes de gouvernements. Les courants religieux vont également perdre de leur puissance pour laisser place à un enseignement universel transcendant les barrières de religions, de races, de nationalités, etc.

La paix mondiale attendue depuis si longtemps s’installera progressivement et les différents conflits liés aux intérêts égocentriques des nations disparaitront. En effet, de nos jours, ce sont les pays les plus puissants qui dictent leur loi aux pays les plus faibles. Ceci a engendré bien des tragédies et des drames. Les mots tels que « nation » n’auront plus de sens.

Cependant, dans le plan cosmique, il n’est pas prévu de créer un monde uniforme mais, bien au contraire, de croiser les coutumes et les traditions de chaque pays.

De même que pour créer un joli tapis, on utilise et on tresse des fils de couleurs différentes.

Aujourd’hui, la mondialisation se développe de plus en plus et cette situation est conforme avec le plan actuel de notre niveau de conscience.

Elle a pour but de réaffirmer que :

L’origine de la terre est unique, l’origine des nations est unique, l’origine des hommes est unique, l’origine des religions est unique, l’origine des langues est unique.

Cependant, si au nom de l’unification du monde, chaque race perd sa nature caractéristique, alors l’humanité sera semblable à un tissu uni.

Chaque nation a le devoir de protéger ses propres traditions et coutumes.

L’Asie, l’Amérique, l’Afrique, l’Europe et l’Océanie avec tous les pays qui s’y rattachent doivent s’appuyer sur de solides fondations et travailler main dans la main à l’édification de la prochaine civilisation.

Certains pensent encore que les nations et les peuples appartiennent à des mondes différents, mais il n’en est rien car sur le plan physique l’assise sur laquelle repose la terre est unique. Les différents pays du monde sont tous reliés par le fond marin.

De plus, sur le plan invisible, il existe un réseau d’intercommunications spirituelles qui les relie entre eux.

Les hommes, quelles que soit leur origine, sont en réalité frères et sœurs.

La civilisation sacrée des hommes des cinq couleurs sera celle où les différentes civilisations existantes aujourd’hui se mêlent et s’enrichissent mutuellement, un brocard plein de couleurs et de contrastes.

Dans le futur gouvernement mondial le service spirituel et le service politique seront unis. Le rôle du représentant de « Dieu sur terre » sera de guider la grande famille terrestre pour qu’elle vive en parfaite harmonie avec la nature.

Les ressources naturelles seront alors partagées équitablement, celles-ci n’étant pas la propriété de l’homme puisqu’il n’en est pas le créateur. L’homme n’est que le locataire de la terre.

Le service d’éducation et le service politique seront également liés.

Ainsi, le « leader mondial » et le peuple ne feront qu’un. On peut dire également que dans ce type de société « rien n’appartient à personne et tout appartient à tous ».

Au cours de l’histoire, la religion et l’état ont souvent été liés à des fins politiques et mercantiles.

Par exemple, l’empire romain avait très bien compris que la foi en Jésus Christ des habitants originaires d’Europe était un très bon moyen de gouverner sans utiliser la force militaire et de réaliser ainsi l’unité autour de Rome. Autre exemple : l’Europe a colonisé de nombreuses contrées du monde en utilisant le christianisme.

En outre, autrefois, les listes d’état civil des régions étaient consignées dans les registres des églises, des temples, etc. Aussi, lorsqu’une guerre survenait, on consultait ces listes pour le recrutement des soldats.

La nouvelle civilisation peut être comparée à une naissance.

Avant l’arrivée d’un nouveau-né, il y a les douleurs provoquées par l’accouchement. Nous sommes entrés à présent dans cette phase.

Aussi, devons-nous nous préparer, jour après jour, à surmonter cette période de grandes turbulences. Cette préparation doit se faire sur le plan spirituel, mental et physique.

En ce qui concerne le réseau d’interconnexions spirituelles qui unifie les hommes, nous pouvons constater que des pyramides existent dans le monde entier et que beaucoup d’entre elles ont une architecture semblable.

Ce fait démontre également qu’une civilisation mondiale a réellement existé.

Ces édifices communiquent entre eux et forment ce réseau d’intercommunication.

Il semblerait d’ailleurs que des scientifiques ont enregistré de puissants rayonnements lumineux, émanant du sommet des pyramides en direction de l’espace.

Qu’y a-t-il de commun entre les temples du Yucatan au Mexique, les pyramides de la vallée Xianyang en Chine, et les pyramides situées dans les Andes ?

Ces anciens lieux de culte, construits à peu près à la même époque que les pyramides égyptiennes de Gizeh, développent depuis peu une activité sans précédent.

Nombreux sont ceux qui, dans le ciel, ont vu d’intenses colonnes de lumière émaner des pyramides.

Des photos et des vidéos confirment aussi ce phénomène extraordinaire. Il faut noter que les documents qui ont été présentés aux spécialistes n’ont pas été truqués et il n’y aucun doute sur le fait qu’il n’y a pas eu de falsification.

Un rayon qui émane de la pyramide Maya de Kukulkan, au Mexique envoyant une pure colonne d’une incroyable énergie.
La pyramide Aztèque de la Lune, au Mexique envoie un vortex d’énergie depuis son sommet. Ce phénomène a été vu et filmé par des témoins.

En utilisant le kotodama (puissance spirituelle des sons) nous pouvons comprendre un certain nombre de points.

PI = SOLEIL – YANG
RA = Arriver
MI = DIEU
DE = DO = AUTEL

Les pyramides qui ont été établies sur les cinq continents représentent donc : Un autel où la puissance YANG (DIEU) arrive.

Evolution de la Conscience humaine

 

Caractéristiques de la société actuelle :

Les hommes d’aujourd’hui recherchent à tout prix la prospérité matérielle et cela, bien souvent, au détriment de l’élévation de conscience.

Cependant, un nombre croissant d’individus prend aujourd’hui conscience que l’abondance matérielle ne conduit pas au bonheur (c’est-à-dire à un état de complète satisfaction et de plénitude). De plus en plus de personnes recherchent un certain épanouissement sur le plan psychique ou émotionnel. De nombreux stages sont organisés pour répondre à cette demande et bien des ouvrages sont consacrés à ce sujet.

L’évolution de la conscience humaine comporte trois grandes étapes et peut se comparer à trois états :

  1. La dépendance qui correspond au bébé (époque de la soumission aux Sumara Mikoto – philosophie d’allégeance au Ciel).
  2. L’indépendance qui correspond à l’adolescence (civilisation actuelle).
  3. L’interdépendance qui correspond à l’adulte (prochaine civilisation – Epoque du renouveau de la théocratie).

1ère étape : Bébé = dépendance

Le jeune enfant est totalement dépendant de ses parents. Il a la capacité d’enregistrer un grand nombre d’informations. C’est le stade de l’apprentissage au contact de ses proches. C’est une période très importante, où, bercé par l’amour de ses parents, il va acquérir les bases qui lui seront nécessaires pour son avenir. C’est un être totalement égocentrique. A ce stade, il va acquérir des attitudes morales sans avoir la capacité d’analyse et de synthèse. C’est également la période où l’enfant adule, admire, fabule.

2ème étape : Adolescence = indépendance

L’enfant, ayant grandi, a le désir de voler de ses propres ailes. Alors débute une certaine socialisation avec des sentiments de justice et d’égalité. Durant cette période, il a un début d’analyse, de comparaisons, de raisonnement et de synthèse. De plus, il commence à s’interroger sur son devenir.

3ème étape : Adulte = interdépendance

Au cours de cette tranche d’âge, le jugement s’affine et le caractère se forme. On est capable d’analyser et de faire une synthèse. On vérifie ce que l’on a appris plus jeune par l’expérimentation et on en tire des conclusions. On acquiert une certaine sagesse qui découle de nos expériences. C’est le stade de la maturité.

On prend conscience que tous les hommes sont interdépendants et qu’ils ont besoin les uns des autres.

L’âme humaine, au cours de ses réincarnations successives, passe également par ces trois étapes.

Nous allons approfondir ce que nous entendons par interdépendance à travers un exemple très simple.

Il nous suffit de réfléchir un instant au nombre de personnes qui ont contribué à la fabrication d’une simple baguette de pain. A partir du moment où le blé a été semé et jusqu’à la vente du pain à la boulangerie, il y a des milliers de personnes qui ont participé au fait que nous puissions manger du pain. On peut dire, sans se tromper, qu’il y a une chaine de savoir-faire, de compétences, de sueur, d’amour, etc. qui s’est mise en place pour que l’on mange du pain.

Le Moi est donc égal au Tout et le Tout est égale au Moi. Sans le Tout, le Moi n’existe pas et sans le Moi, le Tout n’existe pas, non plus.

Ainsi, nous dépendons tous les uns des autres. Chaque Moi participe au bonheur de Tous !

En tant que Moi, nous représentons un maillon de cette chaine.

Nous pourrions développer ce sujet en donnant des milliers et des milliers d’exemples pour l’illustrer.

Ce qui est important de comprendre, c’est que chacun, à son niveau, en tant qu’individualité, participe au bonheur de toute une communauté. En réalité, les êtres humains devraient se vénérer entre eux et se respecter les uns les autres.

Dans nos sociétés modernes, l’individualité, au contraire, pourrait se traduire par le célèbre dicton : « Chacun pour soi et Dieu pour tous » alors que nous devrions utiliser la célèbre formule des mousquetaires : « Un pour tous et tous pour un » !

Sans cette prise de conscience que nous dépendons les uns des autres et que notre bonheur ne peut se construire au détriment du malheur des autres, il sera difficile d’établir une civilisation paradisiaque.

C’est le véritable enjeu du 21ème siècle.

En réalité, nous devons maintenant nous considérer en tant que « bras et jambes » des kamis et de la Terre. Nous devons, pour cela, développer en nous ce que l’on pourrait appeler « l’état d’esprit de rendre service ».

L’être humain dispose de très peu de temps pour changer son comportement.

De l’état mental correspondant au bébé (dépendance), en passant par celui de l’adolescent (indépendance), il doit parvenir à l’état de l’adulte (interdépendance).

Nous n’avons pas le choix : nous sommes destinés à vivre la fin « d’un monde », à changer notre mode de pensée, notre façon de vivre et à inventer « demain ».

Nous sommes parvenus au stade où l’homme, qui détient beaucoup de connaissances nouvelles, doit choisir entre son évolution ou sa destruction.

Il semblerait que, parmi la jeune génération, un certain nombre d’enfants (qui seront adultes demain) contestent notre civilisation, ses valeurs, ses modes de vie et de fonctionnement, ainsi que l’autoroute de la pensée unique, largement propagée par les médias. Ils sont des millions, reliés entre eux par une même nécessité de vivre autrement. Toute pensée finit par se matérialiser.

Les êtres humains sont amenés à remettre en cause notre culture actuelle qui prône l’individualisme et fait totalement abstraction de tout principe supérieur.

Nous devons, dans le même temps, cesser de faire confiance à certains « pseudo-experts » qui régissent nos libertés et nos droits fondamentaux et faire le tri entre la véritable information et le lavage de cerveau auquel nous sommes soumis à longueur de journée. Il est temps de retrouver le bon sens et de coopérer avec la nature et les autres pour que s’établisse sur terre une civilisation paradisiaque.

Le commandant Jacques-Yves Cousteau s’exprime en ces termes :

« Nous sommes le cancer de la Terre. La population de l’espèce humaine est responsable d’une pollution ingérable par la nature. Cela est tellement évident qu’on se demande de quel aveuglement sont frappés nos dirigeants. La nature, dans sa grande sagesse, essaie de nous aider ; les cas de stérilité sans cause apparente s’accroissent – comme d’ailleurs s’accroissent les orphelins et les enfants abandonnés ou maltraités !

Mais la « science » veille et essaie de trouver la parade, comme toujours d’ailleurs pour permettre aux humains de continuer à vivre dans la plus totale inconscience et irresponsabilité ! »

A propos du calendrier maya :

Certains ont prétendu que le calendrier Maya s’arrêterait le 21 décembre 2012, et qu’il évoque la fin du monde. Contrairement à ce que l’on peut entendre sur le sujet, les Mayas ne parlent pas de fin du monde.

Aucune stèle, aucune inscription n’évoque la fin de l’humanité, ou même la fin de notre civilisation. Les stèles parlent d’aboutissement, ou plutôt d’une conjonction des manifestations de 9 forces cosmiques.

Aucune inscription Maya n’évoque la fin de l’humanité, ou même la fin de notre civilisation.

Le calendrier des Mayas est unique en son genre. Il est complètement différent des calendriers classiques, qui eux, sont basés entièrement sur des calculs de cycles astronomiques.

Le calendrier Maya, quant à lui, est basé sur les changements d’énergie cosmiques qui influencent notre conscience.

Il est impossible de prédire l’éclosion d’une fleur à une date et à une heure précise, un an à l’avance. On sait qu’elle s’épanouira au printemps, on en est presque sûr. Mais tout dépendra des nutriments de sa terre, des perturbations météorologiques et de millions d’autres phénomènes complètements inconnus et indétectables, mais qui pourtant accumulés, à un instant précis, provoqueront instantanément et inévitablement, l’ouverture de ses pétales.

De la même façon, nul ne peut connaître le moment exact de l’éclosion du nouveau monde qui arrive.

Le calendrier Maya nous donne, en quelque sorte, les conditions qui provoqueront les changements, qui comme la fleur, suivent un plan ou un cycle précis et inévitable.

La pyramide Maya est une métaphore des 9 ondes d’énergie venant du cosmos que les Mayas nommaient Inframonde dans le calendrier.

Ses 9 étages correspondent aux 9 niveaux de conscience qui se construisent étape par étape, en s’appuyant sur les bénéfices du précédent.

Chaque Inframonde est divisé en 13 étapes ou changements, correspondant à 7 jours et 6 nuits.

Le passage d’un Inframonde à l’autre occasionne une accélération sur l’inframonde suivante, qui est en fait 20 fois plus rapide que le précédent, pour aboutir à son objectif.

D’après la légende, un homme ou un dieu nommé Itzamma serait venu vers les Mayas et leurs aurait transmis les connaissances du langage, de l’écriture, des mathématiques et du calendrier.

En fait, le calendrier Maya n’a jamais été un calendrier, c’est un plan ou plutôt un planning de construction pour atteindre un objectif de création, mais pas de destruction.

En décortiquant les différentes étapes de ce gigantesque projet, on se rend compte, selon certains chercheurs, qu’il s’agit d’une structure très élaborée de constitution de la conscience universelle.

La plupart des grands évènements de l’apprentissage de l’humanité sont inscrits sur ce planning, y compris celui qui se passe de nos jours. Alors pas de panique !

Nous faisons probablement partie d’un grand projet parfaitement maîtrisé dont l’objectif n’est certainement pas le chaos, mais l’épanouissement et l’illumination du commencement d’une nouvelle conscience.

D’après certaines études, le calendrier Maya comporte neuf niveaux d’évolution, selon la stèle de Coba.

Chaque niveau de création, est constitué de 7 jours et de 6 nuits. L’évolution est très lente au début. Le 1er niveau représente 1,26 milliard d’année. Le 2ème niveau a duré 63,4 millions d’années. Il est donc 20 fois plus rapide.

Nos parents prenaient leur temps. Les conflits de génération sont issus de ces niveaux de conscience différents.

A notre époque, il y a autant de changements qui se produisent en 360 jours qu’auparavant en 20 ans.

Chacun des différents niveaux d’évolution de conscience, est divisée en parties égales de 13 périodes de temps.

1- Le cycle cellulaire

Le premier niveau a commencé il y a 16,4 milliards d’années avec le big-bang. Une forme particulière de conscience s’est alors développée.
Cette conscience de base est appelée : ACTION / REACTION et concerne toutes les lois physiques.

2- Le cycle des mammifères

Puis, il y a 820 millions d’années, un autre cycle a commencé en suivant le même processus. Le type de conscience qui s’est alors développé à cette époque est appelé : STIMULI / REPONSE. La différence avec le cycle précédent, c’est qu’il y a une conscience plus élevée. Tous ces degrés de conscience se sont solidifiées étape par étape jusqu’à l’apparition de la vie et la création de la première cellule vivante.

La vie animée a commencé alors à s’organiser en niveaux de plus en plus élevés, pour finalement atteindre le stade de mammifère, y a 63,4millions d’années,

Cela a commencé avec des organismes multicellulaires. Ensuite, les plantes sont apparues, puis les mollusques, puis les poissons, puis les insectes, puis les oiseaux.

Cette création n’est certainement pas due au hasard et a des concours de circonstance. On peut même dire que toute la création évolue au sein d’un programme à la fois minutieux et merveilleux.

3- Le cycle familial

Le cycle suivant a débuté il y a 41 millions d’années, ce qui correspond à l’apparition des singes. Ils ont développé un nouveau type de conscience appelé : STIMULI / REPONSE INDIVIDUELLE.

La vie des mammifères, s’est alors organisée en nids, en essaims, en troupeau, etc.

4- Le cycle tribal

Au cours de ce cycle, une nouvelle conscience apparaît. C’est la conscience familiale.

La différence entre un troupeau et une famille est la reconnaissance des individus : c’est une grande différence. Ce cycle de 41 millions d’années nous a permis de développer des moyens toujours plus élaborés de communiquer.

Il a débuté il y a 2 millions d’années. C’est à cette période qu’est apparu le premier australopithèque.

L’étape suivante a permis une nouvelle forme de conscience appelée : SIMILARITE / DIFFERENCE.

Durant des millions d’années l’évolution du mental s’est faite petit à petit.

Lors du cycle des mammifères, le cerveau s’est développé, lors du cycle familial, son volume a augmenté. Lors du cycle tribal, le mental s’est développé de façon à voir les similarités et les différences et de prendre des décisions au lieu de juste réagir.

Apparition de l’homme, à cette époque ? On peut se poser la question (faire référence à la Genèse, de la Bible).

5- Le cycle culturel (régional)

Il y a 120000 ans le langage est apparu au tout début de ce cycle. Au cours de celui-ci l’évolution a développé une nouvelle conscience appelée :

« LA RAISON » et donc le raisonnement à propos ce qui nous entoure. Au cycle tribal, nous étions capables de prendre des décisions. Au cycle culturel, nous avons commencé à émettre des raisonnements. Il y a 8000 ans l’agriculture est apparue, alors l’humanité s’est plus ou moins sédentarisée, abandonnant le nomadisme.

6- Le cycle national

En 3155 avant J.C, le cycle national a démarré. Il est appelé aussi « le grand cycle » par les Mayas.

Cette période est celle de l’apprentissage de l’écriture. C’est en fait en 3110 av. JC que l’écriture est apparue. L’évolution est de plus en plus rapide.

Ce cycle a duré 5000 ans et a permis de développer une nouvelle conscience, appelée : « LA LOI ». Actuellement, il existe près de 16 millions de lois et vous vous devez de les connaître toutes car nul n’est censé ignorer la loi !

7- Le cycle planétaire

La conscience planétaire a débuté en 1775 de notre ère et a coïncidé avec le début de l’ère industrielle. Ce cycle a concerné la production et la consolidation du « POUVOIR ».

On peut en conclure que l’organisation mondiale du commerce, par exemple, est simplement la manifestation de la conscience destinée à consolider le pouvoir. Les personnes qui détiennent autant de pouvoirs ignorent sans doute qu’elles travaillent au nom de l’évolution de la conscience. Elles ne pensent certainement qu’à s’enrichir de plus en plus. Mais en fait, elles œuvrent dans le sens de l’élévation de la conscience.

8- La conscience galactique

La conscience galactique qui a démarrée le 5 janvier 1999 concerne le développement et la diffusion de la conscience de « l’ETHIQUE ».

9- La conscience universelle

Le dernier cycle de ce calendrier Maya est appelé : Le cycle de la conscience universelle. Il a commencé le 10 février 2011.

Tout ce cycle de conscience est consacré à la « CO-CREATION CONSCIENTE ».

Nous sommes alors associés à la création en tant que créateurs disposant de plus en plus de connaissances.

Les possibilités actuelles sont de plus en plus nombreuses. Un seul exemple : appeler les Etats-Unis depuis son portable est possible maintenant. Cela ne l’était pas avant 1999.

Les évènements vont donc s’accélérer de plus en plus et les possibilités seront de plus en plus nombreuses. Nous nous devons de participer consciemment à cet élan.

De grands évènements apparaissent le 5ème jour et la 5ème nuit dans chaque cycle.

Prenons quelques exemples :
– Lors du 1er cycle (cellulaire), le système solaire s’est développé.
– Lors du 2ème (mammifère) la vie est sortie de l’eau.
– Lors du 3ème cycle (familial), la vision en couleur est apparue.
– Lors du 4ème cycle (tribal), le feu a été découvert.
– Lors du 5ème cycle, (culturel), l’art est apparu.
– Lors du 6ème cycle (national), le message de Jésus s’est répandu dans le monde.
– Lors du 7ème cycle (planétaire), de 1913 à 1932, la théorie E=MC2 est apparue.

Durant les nuits, toutes sortes de choses se passent.

Par exemple, il y a 250 millions d’années, il y a eu des bombardements de météorites pendant le 1er cycle. Les déchets de la formation du système solaire ont heurté les planètes et les lunes. Notre lune en a toujours les cicatrices.

Lors de la 5ème nuit des mammifères, 97% de la vie a été anéantie, pendant la période du jurassique.

Il y a 680000 ans, (5ème nuit du cycle tribal), l’âge de glace est apparu mais nous avions alors découvert le feu ! Ainsi l’évolution de la conscience nous fournit tous les outils dont nous avions besoin pour passer à l’étape suivante.

L’inquiétude et la peur quant à notre futur n’a pas lieu d’être, car la conscience a un plan, et nous en faisons partie.

Lors du 5ème jour du cycle national, le message du Christ s’est répandu, si bouleversant que 415 ans plus tard, Rome chutait. Rome n’a pas péri par l’Epée, elle a chuté parce que la conscience a changé. C’est en train de se produire sous nos yeux, la conscience change même au sein de nos gouvernements.

Nous sommes actuellement dans le cycle de la co-création consciente et des changements s’opèrent tous les 20 jours ! A chaque étape s’installe une nouvelle conscience selon un plan qui se déroule de plus en plus rapidement. Nous avons l’impression que le temps s’accélère. En réalité, c’est la création qui s’accélère. Il y a plus d’événements dans un laps de temps plus court. L’évolution de la conscience se poursuit depuis16 milliard d’années.

Revenons en 1775 date à laquelle la révolution industrielle a débuté et a permis une ère de production et de consolidation du pouvoir.

Depuis 200 ans, la conscience planétaire a été presque exclusivement concentrée sur le POUVOIR et de nos jours, nous en sommes arrivés au stade où de plus en plus de pouvoirs sont concentrés dans les mains d’une petite minorité.

Nous sommes déjà entrés dans une nouvelle ère qui va permettre l’émergence d’une nouvelle conscience. Cette nouvelle étape a pour but de promouvoir l’éthique.

J’ouvre une petite parenthèse :

L’ETHIQUE et la MORALE sont, à mon sens, deux notions complètement différentes.

L’ETHIQUE est la manifestation de ce que nous avons au fond de notre cœur. C’est en quelque sorte notre capacité innée de discernement.

La MORALE, quant à elle, est une manifestation de la RAISON. La MORALE est un ensemble de règles qui sont acceptées par toute une communauté.
Elle peut donc varier selon les cultures.

La MORALE vient de l’EXTERIEUR et nous recouvre comme un vêtement.

L’ETHIQUE vient de l’INTERIEUR de notre cœur et se répand dans le monde à l’image du soleil qui répand sa chaleur à tous, sans exception, sans aucune discrimination, sans barrière ni frontière.

La morale peut justifier, par exemple, l’intervention d’une puissance étrangère dans un pays pour l’occuper. Les exemples en géopolitique sont nombreux pour illustrer cette thèse. Ces actes sont justifiés par la MORALE (par exemple : Les USA qui combattent l’axe du mal). Cette attitude n’est donc pas basée sur l’ETHIQUE.

La morale peut donc être liée au pouvoir.

Nous sommes entrés dans le cycle de l’ETHIQUE et chacun peut constater que ce terme (et ce qu’il sous-entend) est de plus en plus employé.

L’opinion publique souhaite ardemment que l’ETHIQUE soit un critère indispensable au sein de toutes les institutions.

L’ETHIQUE est alors synonyme d’INTEGRITE.

Dans notre relation avec les autres, cette ETHIQUE prend de plus en plus de place, ainsi que dans le cadre religieux, politique, économique, scientifique, etc.

On peut dire que la conscience du POUVOIR va laisser progressivement la place à la conscience de l’ETHIQUE.

Cela entraîne d’ailleurs toutes sortes de scandales et de remise en question.

Le dernier en date : La liaison de notre président avec une actrice. Ceux-ci touchent tous les domaines, y compris celui du couple et de la famille. C’est l’époque où les masques tombent !

La nouvelle conscience de l’ETHIQUE a progressivement pris le pas sur la conscience du POUVOIR. Cependant, il faut bien comprendre que l’étape du POUVOIR était indispensable pour que l’étape de l’ETHIQUE puisse voir le jour.

La MORALE, n’a été là que pour consolider les pouvoirs en place. La plupart des règles de morale ont été enseignées par les religions.

Religion et Etat ont longtemps été intimement liés et les intérêts des deux entités étaient communs.

Auparavant, la conscience du POUVOIR avait pris le pas sur la conscience de la LOI, étape indispensable pour que le POUVOIR s’installe.

L’ETHIQUE a pu se mettre en place car il y a eu auparavant l’installation du POUVOIR.

En effet, lorsque l’on vit uniquement préoccupé par sa survie, l’ETHIQUE est un élément secondaire.

On pense avant tout à POSSEDER et à installer un cadre sécurisé.

Le cycle qui est en train de prendre le pas sur l’ETHIQUE est le cycle de la CONSCIENCE UNIVERSELLE.

Durant le cycle de la CO-CREATION CONSCIENTE la DUALITE n’aura plus court. YANG et YIN vont se croiser harmonieusement.

Quand l’humanité aura intégrer pleinement ce stade d’évolution, la boucle sera bouclée et les intentions de la FORCE CREATRICE auront été atteintes.

L’homme fera alors UN avec SON CREATEUR (la force créatrice) et réalisera l’UNITE avec son environnement (son entourage).

L’HARMONIE issue de cette unité, de cette synthèse, de cette non-dualité ouvrira les portes d’un monde paradisiaque.

Nous sommes actuellement à une époque charnière entre l’ETHIQUE et la CO-CREATION consciente.

Plus on remonte dans le temps et plus l’évolution était lente. Les changements prenaient énormément de temps pour s’opérer.

De nos jours, l’évolution est très rapide et nous devons sans cesse faire preuve d’ADAPTABILITE.

Tout évolue à la vitesse grand « V ».

Ce n’est pas le temps qui s’accélère, mais le rythme imposé par la création.

Il y a plus de changements dans un laps de temps très réduit. Cet état de fait a donné naissance à ce que nous avons appelé : le stress.

Je veux ouvrir encore une parenthèse :

La « Flicker Frency » (fréquence de papillonnement lumineux) nous permet de mieux comprendre le phénomène du stress.

En simplifiant au maximum mon propos, on peut dire que le mental est un outil que la conscience utilise pour distinguer les similarités et les différences entre les choses. C’est un outil au même titre qu’un marteau ou une scie.

Un charpentier ne s’identifie pas à son marteau ou à sa scie.

Certaines personnes pensent que leur mental et eux ne font qu’un.

Nous ne sommes pas notre mental ni nos pensées, bien qu’influencés par eux.

La « Flicker Frency » (fréquence de papillonnement lumineux) nous permet de mieux comprendre le phénomène du stress et dépasser la seule notion de « surmenage ». Il est probable que La « Flicker Frency » soit utilisée entre autre par la publicité subliminale.

Pour faire bref, le cerveau fonctionne en série d’images.

La « Flicker Frency » est de 24 images par seconde. C’est la vitesse maximale du fonctionnement de notre cerveau. Celui-ci a donc une vitesse limitée.

En d’autres termes, le cerveau émet 24 images par seconde.

Il fonctionne par « bande » de 24 images/seconde pour identifier les similarités et les différences. On peut dire que c’est l’essentiel de son boulot. Et cela pour pouvoir prendre des décisions essentielles à notre survie. Le cerveau a donc un mécanisme d’auto-préservation.

La conscience, quant à elle, n’est pas limitée comme le fonctionnement de notre cerveau.

Quand le cerveau comprend qu’il ne peut faire un travail, quand il comprend qu’il ne peut prendre de bonnes décisions, il y a un système intégré de coupure qui intervient par étape.

La première étape est la manifestation du stress. Le cerveau a besoin de certitudes et lorsque celles-ci lui font défaut, il envoie un signal au corps qu’on a baptisé « le stress ».

Nous nous sommes donc adaptés au stress.

Dans notre société, le stress est une façon de nous évaluer. « Combien de stress pouvons-nous supporter » pour tel ou tel travail, pour tel ou tel poste ? Plus vous pouvez supporter de stress et plus vous gravissez les échelons. On appelle cela « l’ascension sociale » !

On admet, à présent que 80% des disfonctionnements du corps humain sont liés au stress. Le stress est devenu une épidémie et beaucoup en sont victimes.

Certains ordinateurs peuvent traiter 4 à 5 milliards d’informations à la seconde. Le cerveau ne peut en prendre que 24 à la seconde !

Dans le passé, les hommes ont fabriqués la plupart des objets dont ils avaient besoin pour vivre. Ils possédaient un certain savoir qui se transmettait de génération en génération et ont tout fait de leurs propres mains.

De nos jours, comment faire pour fabriquer une simple ampoule électrique ?

Il y a de plus en plus d’informations que le cerveau a du mal à traiter car cela dépasse ses capacités. Sa principale caractéristique étant, je le rappelle de détecter les similarités ou les différences. Actuellement chacun peut se rendre compte qu’on est soumis à une accélération qui touche tous les domaines. Nous avons du mal à suivre ce rythme. On a l’impression que le temps s’accélère !

De plus en plus de personnes ne parviennent plus à supporter le stress. Le mental entre alors en lutte ou il « décroche » en prenant la fuite. A ce moment-là le système logique est suspendu. Il n’est plus question alors de similarités et de différences. Il y a juste un apport d’adrénaline dans notre système.

Le corps est alors censé fuir ou lutter pour s’en sortir. Et cela pour préserver l’idée de survie.

Cette pensée « fuir ou s’évader » engendre la fureur, qui engendre la violence présente partout dans nos sociétés modernes.

Que se passe-t-il alors si nous ne pouvons ni fuir, ni nous évader ?

En cédant à la violence à travers les propos et les actes, on peut finir en prison.

Si nous ne pouvons ni fuir ni nous évader, il reste une dernière solution pour notre mental : l’inconscience. Par exemple, lorsque nous sommes attaqués par une bête féroce, pour nous en sortir, nous simulons la mort.

Nous faisons « le mort ».

Beaucoup d’animaux utilisent cette technique lorsqu’ils sont attaqués par un prédateur. C’est une tactique qu’ils mettent en œuvre avec leur état d’esprit de survie.

Chez l’homme, c’est aussi la mère de toutes les dépendances et le père de tous les suicides.

L’inconscience est pour nous une façon de refuser les expériences de la vie.

Toutes les addictions sont donc des méthodes pour rester inconscient, et pour nous permettre de rester à l’abri pour rester en vie. Drogues, alcool, travail, jeux, shopping, séries télévisées, ne sont que des instruments utilisés par « certains » pour nous maintenir dans l’inconscience.

Il y a de plus en plus d’individus, et de plus en plus d’adolescents, qui se réfugient dans ces palliatifs.

Il y a 400 ans, les hommes avaient le temps de réfléchir sur toutes sortes de sujets. Il y avait alors de nombreux « 24 par seconde » pour réfléchir.

De nos jours, les choses ont changées, tout s’accélère, telle une course folle. C’est la raison pour laquelle, des pans entiers de « certitudes » volent en éclats. Les repères du passé ont disparu. Notre cerveau n’est pas adapté à cette vitesse.

Essayer de maintenir l’activité du cerveau en vitesse accélérée, c’est comme faire suivre à un âne, une voiture qui roule à 120 km/h !

Ce phénomène va encore s’accélérer dans le futur.

Sachons donc faire la distinction entre le mental et nous. Nous ne sommes pas notre mental.

Pour ne pas être détruit par le stress, et conserver en toutes circonstances une attitude « zen », il va nous falloir puiser dans notre sub-conscient (capable de gérer des milliards d’informations à la seconde) l’intuition nécessaire pour surmonter cette période d’accélération et d’apport de milliards d’informations que le cerveau n’est pas à même de comprendre et de gérer.

Nous entrons à présent dans une nouvelle ère qui s’accompagnera de restrictions dans tous les domaines. Il ne s’agit aucunement d’une crise passagère, mais plutôt d’une crise systémique destinée à nous permettre d’atteindre le niveau supérieur dans l’échelle de l’évolution des consciences.

Pour être en phase avec l’évolution de la conscience universelle, il devient indispensable de cultiver la modération et le respect des bonnes manières qui constituent un véritable entraînement spirituel.

Dans un grand nombre de domaines, et depuis assez longtemps déjà, l’être humain vivant au sein des sociétés dites « civilisées » a perdu tout sens de la modération.

Faire preuve de modération signifie le respect de certaines limites.

Ceci s’applique aussi bien dans notre manière d’utiliser les biens matériels que dans nos relations avec les autres.

Même à l’égard d’une personne qui nous est très proche, nous ne devons pas oublier la nécessité de respecter certaines limites, sans quoi cette relation pourrait être irrémédiablement compromise.

Cette modération n’apparait que lorsque nous observons les vertus de la bienséance et de la courtoisie.

C’est en cultivant des relations saines avec les autres que nous pourrons devenir une personne modérée.

En tant que pionnier de la nouvelle civilisation, nous devons faire le bien autour de nous et choisir nos amis parmi des gens ayant un mode de vie sain.

Pour illustrer cet état d’esprit je livre à notre réflexion cette histoire, dont l’origine m’est inconnue mais que je partage avec plaisir. Elle illustre parfaitement le message que je souhaite faire passer aujourd’hui :

« Deux hommes, tous deux gravement malades, occupaient la même chambre d’hôpital.

Un des deux fût autorisé à s’asseoir dans son lit, pendant une heure, chaque après-midi pour aider à drainer le liquide de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.
L’autre devait passer ses journées couché sur le dos.
Les hommes parlaient pendant des heures.

Ils parlaient de leurs épouses, de leurs familles, de leurs maisons, de leurs emplois, de leurs vacances, etc.
Chaque après-midi, quand l’homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s’asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu’il voyait par-delà la fenêtre.
L’homme dans l’autre lit commença à vivre pour ces périodes d’une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

La fenêtre donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l’eau tandis que les enfants jouaient avec leurs bateaux. Les amoureux marchaient bras dessus bras dessous au milieu des fleurs de toutes les couleurs.
Comme l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails exquis, l’homme de l’autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait ces scènes pittoresques.

Un après-midi, l’homme près de la fenêtre décrivit une parade qui défilait. Bien que l’autre homme ne puisse pas entendre l’orchestre, il pouvait l’imaginer dans son esprit.
Les jours, les semaines et les mois s’écoulèrent ainsi …
Un matin, l’infirmière arriva pour apporter de l’eau et trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.

Elle était attristée et appela les préposés pour qu’ils viennent prendre le corps.
L’autre homme demanda alors s’il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre.
L’infirmière était heureuse de faire le changement et elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, il se redressa sur un coude pour jeter son premier regard sur le monde extérieur.

Il s’étira pour se tourner lentement vers la fenêtre en dehors du lit. Il fit face à un mur !
L’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé avait décrit ces choses merveilleuses au-dehors.
L’infirmière lui répondit que l’homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
Elle ajouta : Peut-être a-t-il voulu vous encourager ! »

La morale de cette histoire pourrait être celle-ci : Nous éprouvons un énorme bonheur à rendre les autres heureux, en dépit de nos propres souffrances.

Texte de OMNIS trouvé sur Epanews


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