Développement spirituel

Chacune de vos pensées compte

Il n’y a pas d’écart entre ce que vous faites en vous, pour vous, autour de vous, et ce que vous faites pour le monde.

Message de Saint Pierre

Bonjour à vous chères âmes. Il est rare que j’emprunte un corps pour parler. Certains m’ont connu sous le nom de Simon-Pierre, d’autres tiennent à m’appeler Saint Père, Saint Pierre, mais cela importe peu, peu l’identité que j’étais. Le temps est venu pour moi de faire un discours.

Je préviens mon canal que, oui, je vais répéter des mots qu’il a déjà entendus et peut-être même qu’il a déjà prononcés, mais cela importe peu, car je souhaite vraiment poser ici et maintenant ce qui est important, ce qui peut prendre importance dans votre monde illusoire devrais-je dire, pour être complet dans ce que j’évoque.

Vous traversez encore ce tunnel, cette époque troublante de changement planétaire, de changement vibratoire, de changement personnel pour beaucoup d’entre vous, pour qui ce tunnel temporel représentera aussi un changement de vie, des choix différents, une évolution différente, sur cette planète qu’est la Terre.


Vous êtes incarnés sur cette Terre. Le fait d’y être incarné vous rend « possesseurs », intermédiaires de cette énergie qui est présente sur la Terre. Chacune de vos pensées compte. Chacune de vos actions compte. Aucun d’entre vous, aucun, n’est inutile. Aucun d’entre vous n’est pas écouté ou sélectionné pour entendre. Les pensées planétaires comptent énormément dans ce passage évolutif, dans ce passage de croissance.

Alors qu’il avait été demandé par bien des guides – je vais revenir sur notre fonction, notre part – il a été demandé par bien des guides de se préparer à avoir du courage, de se préparer à être des guerriers de Lumière, de respecter le courage, la foi, l’abnégation, savoir se rendre au service d’une humanité consciente, se placer dans ce service, dans ce service divin, se tourner, non pas vers le ciel ou vers les cieux, mais vers son ciel, son propre ciel, sa propre nature divine.

Il est vrai que nous avons été, à défaut d’être entendus, en tout cas très peu écoutés. Beaucoup ont pris ce que nous préparions, ce que nous savions de ce moment, parce que nous ne savons pas tout, beaucoup ont pris cela pour une chose légère : « oui, ils nous demandent d’être des guerriers de Lumière ; oui, ils nous demandent de nous préparer, mais à quoi ? » A tout en fait, car tout va vous arriver !

Tout va vous arriver dans ce tunnel de transformations. Il n’y aura pas d’étape plus lente ou simple qu’une autre. Tout est en préparation, tout un tas de choses qui ne peuvent être décrites, car elles seront toutes plus surprenantes les unes que les autres ces étapes, et toutes plus nécessaires les unes que les autres : nécessité d’aller au-delà, avant tout, de la peur de la mort, nécessité de ne pas séparer, de ne pas désunir, alors que vous êtes en train de le faire. Vous êtes en train de couper un monde en deux sans le savoir, sans le vouloir pour la plupart d’entre vous, mais en tout cas en le pensant puisque vous continuez à penser en tant que bien et en tant que mal, ce qui est d’usage dans un monde duel, mais qui n’est pas la manière la plus efficace de traverser temporellement ce tunnel.


J’évoquerai avec vous, tout à l’heure, les techniques nécessaires pour cela, pour aider, pour œuvrer si vous le souhaitez, à nos côtés. Et je vais peut-être ici d’abord, revenir au fait que nous sommes au service de vos énergies.

Nous vous accompagnons. Nous ne créons ni ne subissons votre monde. Nous ne le créons pas. Nous ne le subissons pas. Le Créateur permet tout. Il n’a pas de désir, pas de besoin, pas de volonté, car tout est su, tout existe, tout peut exister. Difficile à entendre pour des gens qui, encore une fois, ont créé l’Arbre du Bien et du Mal.

L’Œuvre originelle, le Paradis originel est possible. Ce paradis originel demande de faire confiance dans la Nature, de ne pas essayer de la posséder, de ne pas essayer de la maîtriser à coup sûr, et de ne surtout pas se considérer comme maître de la Nature, mais comme un élément de la Nature.

Ce qui a fait quitter l’incarnation humaine, les diverses incarnations humaines du Paradis terrestre, a été ce désir de conquérir un monde, de s’en trouver les possesseurs et non, finalement, la possession de cette Nature. C’est la Nature qui vous possède, une Nature bienveillante, une Nature divine bienveillante et aimante.

Alors, l’Homme a voulu conquérir. L’Homme a voulu posséder, maîtriser, et est utilisé.

Ce sont des cycles que nous connaissons en tant qu’âmes, depuis bien longtemps, depuis si longtemps.

Le Péché Originel a été de désigner, à la place de la divinité en vous, ce qui était bien et ce qui était mal. Voilà en quoi je détermine et désigne l’être humain, l’Homme, comme créateur de l’Arbre du Bien et du Mal, finalement.

En créant ce cycle, vous avez créé aussi quelque chose qui pouvait être utilisé, car revenir à la Lumière est un acte qui génère une Lumière plus grande encore que sa destination. Autrement dit, chacun d’entre vous produit une immense Lumière – et mon discours est synthétique quand je vous dis cela.

Chacun d’entre vous, par ses pensées, crée ce que vous appelez le futur de votre monde, en vérité, appelle le futur correspondant à ses pensées.

A partir du moment où l’Homme a créé des pensées de divisions, la division existait sur Terre. Ainsi ont été créées les guerres. Ainsi ont été créées les batailles, les conquêtes, les possessions, l’idée de domination. Ce sont des cycles, nous le répétons.

De ce fait vous êtes, à travers ce tunnel temporel, dans une décision divine par chacun d’entre vous, de s’unir à nouveau, de reconquérir la non dualité.

En ce moment, pour la reconquérir, vous passez par des temps où vous exacerbez l’opposé de ce que vous voulez. Vous vous faites comme ressentir de vous, ressortir de vous, de votre énergie, tout ce qui n’a pas de sens à vos yeux, pour le travailler, pas simplement pour le sortir mais pour le travailler un peu, travailler cette énergie.

Vous n’êtes pas dans une occasion rare, je le répète. Tout cela est cyclique, et sur des cycles dépassant les vingt-mille de vos années vous connaissez cela régulièrement.

Actuellement vous exacerbez la division, alors que vous voulez l’union. Vous exacerbez la peur de la mort, alors que vous savez que la mort n’existe pas et que vous devriez fêter la vie. C’est parce que des gens ont préparé la guerre que la guerre a lieu. C’est parce que beaucoup sur cette Terre ont séparé des populations, en considérant qu’une partie de la population faisait bien et que l’autre faisait mal, que vous avez, vous aussi, préparé la guerre.

On vous l’a montré. On vous l’a présenté. C’est très difficile à croire et à admettre pour chacun d’entre vous, et nous sommes, non pas déçus, mais nous savons que vous pourriez, vous auriez pu, avec courage, avec force, avec l’action du peuple tout entier, agir différemment, sur une autre ligne de temps. Mais rien ici, n’est vraiment aussi grave que vous l’imaginez.

Le rôle des guides est de vous accompagner, de vous accompagner sur votre volonté. Votre volonté est la Paix, l’Amour, la Joie, alors nous accompagnerons toutes les pensées de paix, toutes les pensées d’amour et toutes les pensées de joie, mais nous ne pouvons accompagner ces pensées dans des êtres qui sont divisés.

Si quelqu’un nous demande la paix, prie pour la paix, mais si cette personne dit que ce côté est le camp du bien, ce côté est le camp du mal, alors sa prière, sa vibration n’est pas celle de la paix.

La paix, l’état que vous souhaitez, est un état qui ne sépare pas. La paix n’est pas un état qui détermine un camp du bien et du mal.

Nous ne pouvons, et c’est notre œuvre, qu’amplifier vos pensées, vos émotions, votre champ d’action électromagnétique pour attirer les évènements.

Si vous nous dites : « Nous vous demandons Saint Père – souvent on m’appelle comme cela aussi – nous vous demandons Saint Père de faire cesser la guerre », votre état vibratoire, quand vous demandez cela, est la guerre. Quand vous nous demandez de faire cesser la maladie en vous, votre état vibratoire est la maladie. Nous ne pouvons amplifier votre demande.

Nous ne pouvons pas amplifier un départ négatif. Nous n’impulsons pas un état ou un autre. Nous ne connaissons pas – comment expliquer cela en matière humaine ? – nous ne connaissons pas la progression. Ainsi, il vous a souvent été demandé, dit, de demander ce que vous voulez dans l’état final.

Le Fils de l’Homme vous l’a dit : « Ce que vous désirez, croyez que vous l’avez reçu et vous le recevrez. » Cela vous a été dit. Cela vous a été promis par Celui qui, au sein et pour les siècles, connaît la vérité créatrice de l’être humain. Ce que vous désirez, croyez que vous l’avez reçu. Cette phrase est donc bien différente de : croyez que vous allez le recevoir. Autrement dit, ici, chères âmes qui aimaient la technique de création, comprenez qu’il vous faut vibrer l’état final de votre désir, l’état final de votre volonté. Vous ne pouvez pas demander un corps sain en vibrant la maladie. Vous ne pouvez pas demander la paix, en vibrant la guerre.

Votre état émotionnel doit être engendré de l’état final désiré. Autrement dit, vos prières ne sont pas une demande de vous apporter cet état, pour que vous l’amplifiiez ou que nous l’amplifions, mais la réalité, c’est qu’il vous appartient dans votre travail, dans votre œuvre humaine – nous préférons ce terme effectivement – il vous appartient d’éveiller en vous, déjà, ce sentiment de paix, de le ressentir, de le percevoir, et ce sentiment de paix ne peut être en vous que quand vous cesserez de créer les camps du bien et du mal.

De la sorte, à celui qui est en paix, sa prière est entendue. Et nous entendons ceux qui demandent la paix depuis la paix, et nous travaillons et œuvrons avec chacun d’entre eux, chacune d’entre elles, sans relâche, jour et nuit, à n’importe quel moment. Alors nous amplifions votre capacité à créer.

Et en même temps, chères âmes, lorsqu’une majorité de la planète est dans un positionnement psychique d’un camp du bien et du mal, nous ne pouvons qu’attendre. Nous ne pouvons qu’attendre cet appel intérieur à une paix profonde, à une paix durable et à une paix prouvée.

Allez répandre la paix. Soyez la Paix. Souriez à vos frères, à vos voisins, à vos amis. Semez, la non-division, et vous récolterez la non-division.

Semez l’idée de passer de la guerre à la paix, et vous verrez la guerre et un peu de paix, car ce ne sera pas votre ressenti réel.

Ce n’est pas votre désir qui est réalisé aux cieux. Ce qui est réalisé par les cieux, c’est l’amplification de votre émotion dans le moment présent, ce que vous désirez, croyez que vous l’avez reçu et vous le recevrez. Maintenant. Croire, c’est maintenant, pas dans un autre temps, même pas dans une amélioration. La véritable prière, en vérité, demande un miracle, autrement dit, demande l’exécution immédiate de l’énergie, pas une progression.

La réalité informationnelle est la suivante : dans un monde duel, vu de votre point de vue, il existe deux états, malade ou guéri. Il est bien évident que vous voir en cours de guérison est quelque chose qui œuvre, et qui permet d’accélérer effectivement ce potentiel de guérison, mais vous voir malade puis guéri, ne sert pas. Donc, mettez-vous au moins en chemin dans votre demande. Ressentez ce chemin, et ressentez déjà la victoire de ce chemin.

Je le répète, l’idéal est de demander de ressentir la destination de votre demande. Peu importe à qui vous demandez. Si vous n’arrivez pas à cet idéal, mettez-vous au moins en chemin, mais ne restez pas sur le point de départ, ne restez pas sur la maladie, ne restez pas sur la guerre, ne restez pas sur la peur de mourir, ne restez pas sur la peur de connaître des êtres qui ne vous ressemblent pas. Ne restez pas là-dessus.

Les épreuves, que vous êtes en train de vivre et que vous vivrez, sont là aussi pour travailler chacune de vos peurs profondément, pas pour vivre avec, mais encore mieux, pour les dépasser, pour vivre au-delà, pour redevenir les maîtres que vous êtes.

Les maîtres que vous êtes ont un corps temporaire. Ils s’y intéressent, mais ils savent qu’ils ne sont pas le corps. Ainsi, dans cette connaissance, dans ce savoir qu’ils ne sont pas que le corps, votre œuvre peut être plus grande que votre vie matérielle, plus grande que votre vie physique, et votre désir peut atteindre un niveau plus puissant que vous-même, plus puissant que le personnage unique et seul que vous pensez être. Chères âmes, nous vous accompagnons dans ce temps.

Beaucoup d’entre vous s’imaginent qu’il faut attendre des signes pour agir, qu’il faut attendre des symboles pour agir. Nous le répétons, le moment de l’action divine est le moment présent. Le rôle des guides est d’accompagner, d’amplifier votre énergie allant vers le bien. Prier, c’est demander en fait une amplification de ce que l’on ressent, déjà. C’est cela la prière, demander l’amplification de ce que vous ressentez déjà, pas demander à ressentir ce qui n’est pas en vous. Nous ne savons pas faire cela, et nous n’avons pas à le faire. Il vous appartient de produire l’échantillon nécessaire de votre propre existence, de marcher dans vos pas, dans vos décisions, d’être intègre en cela, peu importe vos choix.

Nous ne considérons pas qu’un choix soit meilleur qu’un autre, mais nous savons que la destination globale planétaire est la paix, l’union de chacun d’entre vous.

Alors chères âmes, ressentez notre invitation, peu importe les mots que nous prononçons. Nous essayons, quand nous vous parlons, de produire une énergie supérieure aux mots, de vous aider à ressentir en vous cette liaison, ce contact que nous avons avec vous.

Nous agissons tous en ce moment très fortement pour vous faire ressentir notre présence, pour vous dire nous sommes là, mais nous ne sommes pas là pour faire à votre place, nous sommes là pour faire avec vous.

Heureux celui qui croit sans voir.

Heureux celui qui sait avoir confiance, confiance dans sa propre énergie divine, confiance dans son propre pouvoir divin, dans sa propre capacité à semer l’ordre plutôt que le chaos, répandre la joie plutôt que la peur, à parler d’amour plutôt que de camps. Celui-là est notre apôtre aussi, celui qui peut aider et œuvrer en tant que frère ou en tant que sœur, avec nous.

Nous n’avons pas les pouvoirs que vous nous prêtez. Nous n’avons pas le pouvoir d’arrêter une guerre ou de la démarrer. Des puissances sont à l’œuvre sur votre terre, de fortes puissances sont à l’œuvre pour séparer, pour diviser, pour conquérir.

Nous le rappelons, souvenez-vous de mon discours d’origine, vous avez créé ces forces, et aujourd’hui, ces forces vous submergent, mais elles vous submergent parce qu’elles savent que leur temps est terminé. De ce fait, elles utiliseront tout ce qu’elles pourront dans ce tunnel, dans ces temps, pour essayer de survivre, donc de donner de bonnes raisons à la peur, de donner de bonnes raisons à tous types d’angoisses.

Beaucoup essaieront de conquérir les penseurs libres. Beaucoup essaieront de les empêcher. Beaucoup essaieront d’emprisonner vos libertés, mais il vous appartient de démontrer la paix, j’insiste, de démontrer la paix, pas de la demander, de la démontrer, c’est-à-dire de préparer ensemble, individuellement ou collectivement, peu importe, des actes qui diffusent la paix, qui diffusent cet amour.

J’ai participé, dans une époque pas si lointaine que ça – je pense qu’il s’agit de vos années 70 – à des concerts répandant la paix, à une œuvre qui s’est répandue sur la planète, répandant la paix, où chacun venait se présenter en paix et avec amour, où tout était simple, tranquille, sans questionnement. C’était démontré. Ce n’était pas l’ambiance générale de l’époque. C’était ces gens qui venaient en se disant : voilà, pendant quelque temps – les jeunes gens avaient décidé de recréer le monde et de montrer le monde qu’ils voulaient, de le démontrer – c’est possible, cela se fait. C’est long, cela dure longtemps, ces concerts-là.

C’est ce concert d’amour, que je vous invite à recréer. Ce grand concert de l’unité, que vous êtes invité à ressentir dans votre essence.

Sachez, chères âmes, qu’il est temps désormais de ne plus répéter les mêmes erreurs. Depuis le début de ce tunnel temporel que vous passez, de cet accouchement aimeraient dire certains autres Maîtres d’Ascension, il n’est plus temps d’avoir peur de la maladie. Il n’est plus temps de vous laisser posséder ou diriger par une maladie. Il n’est plus temps non plus de vous laisser posséder ou diriger par la peur de perdre, par la peur de ne plus avoir, par la peur de…, de quoi ? Ce sont toutes ces peurs auxquelles vous allez devoir être mis à l’épreuve.

La peur de perdre la vie, oui.

La peur de perdre vos amis, oui.

La peur de perdre votre maison, vos possessions, oui.

La peur de perdre même votre statut de Terriens, vous le verrez, oui.

La peur d’être dominé, oui.

Oui, parce que la solution vous l’avez déjà, parce que la solution, nous l’avons évoquée depuis des dizaines d’années : créez une communauté.

Plus ceux qui vous dirigent sont loin, et plus vous êtes contrôlés. Plus vous êtes avec des amis, avec des proches, avec des voisins, avec des frères et sœurs de cœur et d’âme, et plus la Nature crée un autocontrôle de cette mini civilisation.

Oui, la solution passe par là. La solution passe par un groupe de gens solidaires entre eux, qui s’aident, s’entraident, chacun avec leurs compétences. Il faut mettre cela en avant, savoir se mettre au service. Ceux qui savent prier, priez pour les autres. Ceux qui savent faire des toits, vous ferez des toits pour les autres. Ceux qui savent utiliser des outils modernes, vous le ferez pour les autres, mais dans une communauté que vous rejoindrez.

On n’a pas peur quand on est avec sa famille. Et souvenez-vous de cette sensation que vous viviez pour la plupart d’entre vous, pas tous mais, enfant vous n’aviez pas peur, car vous saviez que votre famille vous protégeait, que votre famille vous nourrissait, que votre famille vous protégeait.

Vous avez perdu ce lien familial, entrant dans la séparation, décidant aussi parfois de ne vous assembler qu’avec ceux qui vous ressemblaient, alors que le véritable rassemblement c’est le mélange de tout ce qui est, l’acceptation de tout ce qui est.

La tolérance, la bienveillance, toutes ces valeurs sont travaillées maintenant. Ce sont celles que nous avions énoncées il y a des dizaines d’années, mais ce sont celles qui sont travaillées maintenant, dans ce temps, dans ce passage, dans ce tunnel. La bienveillance, la tolérance, chacun d’entre vous est invité à cela. Chacun d’entre vous est invité à ressentir cela en lui.

Alors ici, maintenant, même à la lecture de ce que je dis, entrez en vous chers amis.

Entrez en vous et recherchez ce point de lumière, ce point de lumière dans votre cœur physique.

Recherchez ce point d’amour en vous. Recherchez ce point.

Ayez juste envie de toucher ce point ; juste envie, de toucher ce point.

Et ressentez l’union.

Ressentez peut-être d’abord l’union que vous avez avec vous-même,

ce sentiment d’être un, avec vous,

puis recherchez ce sentiment d’unité que vous avez avec le lieu où vous êtes.

Accueillez ce lieu en vous. Soyez ce lieu. Devenez ce lieu. Permettez-vous cela.

En vérité, vous l’êtes déjà. Et ressentez paisiblement le lieu où vous êtes.

Sentez-vous uni à vos proches, à votre famille.

Ayez des pensées d’amour. Aimez. Aimez-les et aimez aussi le lieu où vous êtes.

Commencez à l’aimer, à l’appréhender comme étant lui-même un frère,

comme étant complètement vivant en fait,

comme étant une somme d’énergie qui vous entoure.

Englobez cela. Restez paisible et tranquille.

Ne pensez pas à vos besoins, pensez juste à aimer, à être.

Etendez maintenant cette sensation d’être relié.

Etendez-la à tous ceux qui écoutent ou qui lisent mes mots.

Etendez cette fraternité à tous ceux que vous êtes, ici, maintenant,

et pour les siècles des siècles d’ailleurs, car vous êtes unis depuis toujours.

Etendez cette union, celle que vous êtes.

Vous êtes une fraternité aimante, accordez-vous un sourire.

Ne pensez pas à ce qui pourrait l’enlever, pensez uniquement à ce qui peut le maintenir,

à cette union, à cette joie simple.

Nous allons nous occuper d’abord de ce petit groupe que nous sommes.

Ensemble nous allons sourire, sourire à cette vie, à cette existence, dans ce moment présent, unique et merveilleux, nous, unis, en paix.

Peut-être y a-t-il du bruit, peut-être êtes-vous dérangé, mais centrez-vous, chères âmes,

sur cette paix qui nous relit tous, ici, maintenant, et pas seulement vos frères physiques,

mais aussi toutes les Âmes de Lumière qui nous rejoignent à présent.

Laissez une vague d’amour s’étendre autour de vous,

laissez une vague d’énergie s’étendre autour de vous,

et laissez-la prendre toute la place de la planète.

Laissez une vague de paix partir de vous, n’essayez pas de la contrôler.

Laissez-la partir, laissez-la filer cette vague, laissez-la se répandre partout,

Et continuez à ressentir ce petit sourire naturel sur votre visage, cette paix naturelle,

cet espace, pour ceux qui le peuvent, qui dit :

« Ici, maintenant, tout va bien, nous sommes unis en frères et sœurs,

par la Lumière et pour la Lumière,

accompagnés des guides et anges de Lumière,

accompagnés des saints, du Très-Haut,

nous voulons ce sourire pour tous,

nous voulons cette Paix, pour tous, pour la multitude

et nous la voulons maintenant, dans le moment présent,

comme nous la ressentons,

comme nous acceptons de la ressentir,

comme nous acceptons de la faire ressentir,

sans exiger ni demander rien en retour,

que chacun soit contaminé de notre Paix, de notre Joie, simples

une paix simple, une joie simple. »

Accordez-vous 30 secondes dans cet état.

Permettez à votre corps de le ressentir dans chacune de ces cellules.

Voyez, ressentez comme vous êtes le centre de ce monde, le centre de votre monde.

Chères âmes, ressentir la paix est un choix, un choix qui vous demande de quitter la réflexion, de quitter le : « J’aimerais bien être en paix, mais… ». Soyez-le maintenant.

Bien sûr, vous sentirez une part de vous s’opposer à être la paix sur ce monde, comme si quelque chose venait vous dire que cela nierait l’évidence, que cela nierait la réalité. On ne vous demande pas cela, on vous demande d’être la paix pour vous, vous-même, pour quelques moments, pas pour toujours, simplement d’accepter une pause.

Si vous souhaitez un cessez-le-feu, commencez déjà à souhaiter une pause à l’intérieur de vous, à vous accorder cette pause, ce temps d’arrêt avant de retourner ou pas, à la dualité, mais en tout cas, autorisez-vous, autorisez-vous cette pause, ce rayonnement intérieur.

Chères âmes, en touchant cela, vous touchez à votre plus grande capacité. Il n’y a pas de formule. Il n’y a pas d’autres échanges. Rayonnez, illuminez le monde. Faites-le depuis la vibration que vous désirez, pas depuis la vibration que vous ne désirez plus, mais bien depuis la vibration que vous désirez. Votre désir est entendu, compris, accepté par chacun d’entre nous.

Nous n’avons pas jugé. Voyez le temps que cela prend. Nous sommes là pour vous accompagner sur ce chemin.

La phrase est difficile à entendre, mais que le passage que vous êtes en train de vivre dure une journée ou une centaine d’années, en vérité, n’importe pas. Cela n’importe pas sur le chemin de votre âme. Quand vous touchez à cela à l’intérieur de vous, quand vous touchez à l’idée que la progression, la victoire de la paix, la stabilisation de la dualité pour qu’elle n’existe plus, mais qu’elle soit stable et plus aussi séparée, pas dans des écarts aussi puissants, tout cela arrivera. A la fin, de toute façon tout ira bien, car votre âme, dans ce corps ou dans un autre, réussira. Vous pouvez déjà ressentir cette victoire de votre énergie.

Et il est là le paradoxe divin, c’est que quand vous acceptez cette victoire, quel que soit le temps, en dehors du temps, plus vous acceptez cette victoire en dehors du temps, et plus cette victoire est attirée dans votre propre temporalité. Celui qui veut un miracle sait que ce miracle est accompli en un temps, et que ce temps le rejoint. Il ne s’agit pas de créer de toutes pièces, mais de manifester ce que vous désirez, de manifester votre volonté.

Chères âmes, nous vous remercions vraiment de ce pouvoir que vous nous accordez de tout changer, mais nous ne l’avons pas. Nous avons le pouvoir de vous faire changer. Nous avons le pouvoir de vous amener plus facilement, plus souvent, dans des états qui pourront générer un nouveau monde. Voilà quel est notre réel pouvoir, celui du guide, celui du conseil, celui de l’aide. Nous vous aidons à devenir les chevaliers de l’Amour, les chevalières de la Lumière, les filles des étoiles, les hommes du cosmos. Nous vous aidons à devenir ces êtres qui sont déjà dans ce potentiel, mais qui continuent à se sentir victimes, coupables, responsables.

Vous avez une responsabilité, mais c’est celle qui est reliée à vos émotions. Ceci est votre responsabilité puisque c’est vous qui décidez de les accueillir encore et encore, et encore, et encore.

Accueillir c’est merveilleux, mais savoir aussi libérer c’est merveilleux. Bien sûr c’est fantastique d’accueillir une émotion, mais après ne vous en sentez pas responsable.

Voyez, si un papillon vient se poser sur votre main, vous ne devenez pas responsable de la fin de vie du papillon, de ce qui lui arrive. Vous pouvez le trouver merveilleux ou même laid, peu importe, ce qu’il devient après ne vous appartient pas. Il en est de même pour vos émotions. Ce qu’elles deviennent une fois qu’elles vous ont traversé ne vous appartient pas. Mais si je devais garder cette allégorie, sachez tout de même que si vous observez un papillon, et si vous nous demandez de le reproduire, nous le reproduirons, mais là encore, quand ils partiront, ils ne vous appartiennent plus, ayez confiance. Faites-leur confiance, comme à vos enfants.

Vous savez, vous réagissez en émotions comme vous réagissez avec vos enfants. Ils sont grands, ils sont indépendants et vous pensez encore et toujours à eux, parce que vous n’avez pas confiance en la vie. Ce n’est même pas en eux que vous n’avez pas confiance, c’est en la vie, dans tous ses accidents potentiels. Plus vous apprendrez à faire confiance en la vie, plus vous vous protègerez vous, et plus vous protègerez votre monde intégrant votre famille, intégrant le monde de manière générale.

Vous n’êtes pas le père et la mère de ce monde. Vous êtes l’enfant de la Nature.

Alors la Nature, oui, fera aussi partie des épreuves que vous allez vivre. Elle va aussi vous rappeler, pas à l’ordre, mais vous rappeler sa puissance, dans l’œuvre, dans l’aide aussi.

Beaucoup d’évènements merveilleux sont en cours dans votre tunnel temporel. Je le répète, ils sont souvent très surprenants.

Il n’est pas un temps ou une date précise qui soit notée pour chaque changement. Il n’est pas de signe précis lié à ce changement, mais ce changement correspond tout de même à une montée en énergie de vos âmes, à une reconnaissance intérieure, à cette puissance de vos âmes en vous.

Dès lors, certains d’entre vous verront que les dimensions se rapprochent. Vous verrez que ce temps duel puissant arrive à sa fin. Vous sentirez que vous pourrez enfin agir plutôt que réagir. Alors écoutez votre âme, écoutez votre cœur.

Ce ne sont pas les signes extérieurs qui comptent le plus, c’est votre énergie intérieure qui compte le plus.

Certains verront, oui, mais d’autres, non, mais tous ressentiront. Tous, vous êtes capables de ressentir ce changement, cette joie possible. Ce possible-là, vous êtes tous capables de le toucher. Alors touchez-le, embrassez-le. Soyez fiers de vous comme nous sommes fiers de vous, car nous savons que votre volonté est de faire ce chemin, nous savons que vous vous êtes engagés à cela.

Nous savons que vous êtes partis dans ce moment, qui n’est pas le moment, un des moments – ils se répètent – les plus joyeux de l’existence de votre Terre, mais ce sont des moments de transformations, et vous-même, vous passez de la chrysalide au papillon, et vous êtes ce papillon sur la main de Dieu, et Dieu a confiance.

Soyez bénies, chères âmes. Soyez bénies de la Lumière.

Mon message aujourd’hui est un appel à l’Amour, un appel à l’œuvre, un appel à répandre déjà, dès maintenant, des communautés de paix. En le faisant localement, vous le ferez pour le monde. Il n’y a pas d’écart entre ce que vous faites en vous, pour vous, autour de vous, et ce que vous faites pour le monde.

Soyez heureux. Soyez heureux vraiment, car vous revenez à vous-même, vous revenez à votre essence divine, vous revenez à ce que vous êtes vraiment.

Béni soit chacun d’entre vous dans la forme, dans l’énergie.

Canalisation publique du 8 mars 2022 par Sylvain Didelot, retranscrite par Marie-Claire.

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